Les Chroniques de Zadlande forment une trilogie d'anticipation autour d’un personnage secoué par un drame personnel, mais traitent plus largement de la condition et la manifestation de la véritable nature humaine à travers le prisme ou le prétexte d’une dystopie. Une façon, selon l’auteur, de dépouiller l’homme moderne de son habit de certitudes culturelles et de l’observer dans une parfaite nudité spirituelle voire originelle.
Dans ce roman, des survivants d'une station spatiale sont projetés sur une planète primitive nommée Planetae, semblable à la Terre d'il y a vingt millénaires. Pour survivre, ils doivent rapidement s'adapter. Leur rencontre avec les autochtones, loin d’être primitifs, bouleverse leurs idées sur l’évolution et le progrès. Cette aventure les pousse à une introspection profonde, redéfinissant leur rapport à la nature et à l’essentiel. Le récit invite à réfléchir sur la condition humaine, notre capacité d'adaptation et le sens de la vie.
Deux volumes à paraître
En 1752 , un ancien lieutenant de la Maréchaussée est nommé commissaire à Ussel (Limousin)
Artiste aux multiples facettes, je me suis d’abord consacré aux arts visuels et à la musique, avec une carrière enrichissante dans le domaine du spectacle en tant que scénographe, décorateur et directeur technique. Ayant été formé aux Beaux-Arts, j’ai toujours eu une passion pour la création sous toutes ses formes. C’est relativement tardivement que je me suis tourné vers l’écriture, une discipline où j’ai trouvé une profonde satisfaction et un nouveau mode d’expression.
Commander
Textes
L’écrit d’amour 
 

 
J’aimerais t’écrire comme le poète 

 
Les mots d’amour d’un cœur honnête 
 
Comment t’écrire comme je t’aime 
 
Suis malhabile suis pas bohème 
 
 
 
J’aimerais te lire tous ces poèmes 
 
Qui chantent l’amour, mais le problème 
 
C’est qu’aucun d’eux n’est de mon cœur 
 
Comme le parfum est à la fleur 
 
 
 
Pourquoi courir la terre entière 
 
Cueillir les mots les plus sincères 
 
C’est dans tes yeux que je m’arrête 
 
Quand tu souris je perds la tête 
 
 
 
J’ai beau chercher mais peu importe 
 
Que tous ces mots qu’un air emporte 
 
D’une musique ou son poème 
 
Pour toi s’envolent tous mes « je t’aime » 
 
 
 
J’ai beau chercher à te surprendre 
 
J’ai bien envie de me répandre 
 
Ce que je dis n’a plus de sens 
 
Parce que ton corps réveille mes sens 
 
 
 
Quand tes cheveux couvrent tes seins 
 
Il n’est de verbes que dans mes mains 
 
De tous ces vers que je te couche 
 
Plus aucun son sort de ma bouche 
 
 
 
J’aimerais crier toute ma tendresse 
 
Mais le silence de mes caresses 
 
Chante d’avantage que tend ma plume 
 
Désir amour flamme s’allument 
 
 
 
Point d’appétit mal à-propos 
 
Je ne sais lire que sur ta peau 
 
Ces mots étranges et la magie 
 
Des mots d’amour quand l’âme agit 
 
 
 
De ces mots-là j’aime le silence 
 
Car en amour n’est pas de science 
 
Bien loin des mots naissent les rimes 
 
Laissons les cœurs quand ils s’expriment 
 
 
 
Comment te dire combien je t’aime 
 
Comment t’écrire tous mes « je t’aime » 
 
Alors j’écris « je t’aime, je t’aime » 
 
Alors je crie « je t’aime, je t’aime » 

  

à Delphine

Autres textes en lecture libre
Peinture
Technique a fresco: Pigments naturels et gouaches sur mortier de chaux
Musique et lutherie
Guitare classique - Basse electrique - Basse accoustique